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p.15 (par.23) E.M.M.            retour P14 chap.1à15              ***                  livre sut Net                         suite à: JO

CHAP.16

Oui , c'est sincère, je pense que les textes châtiés, tout comme le swing ne sont pas à leur place. Il y a des artistes et des auteurs qui attendent, et qui sont super bons . Vivement la S.D.I. (voir p.9 et p.11 de mon site web) pour qu'ils aient des droits justes, de quoi ne pas perdre leur temps, face à un système actuel qui ne les attend pas, alors qu' eux sont prêts. Hier encore (et en plus je fais de la pub. à Charles), c'est à dire le 29 juillet 2013, l' Etat de Finlande a été sollicité par ce qui est appelé une "pétition", comme aux USA, et il est demandé une loi nouvelle, sur les droits et le Net . Autant dire que notre idée p.9 a fait du chemin...Je l'avais lancée aussi sur le site petition Américain, mais elle n'a pas été comprise, vu mes talents dans la langue. Les styles Delanoë, Cabrel, Berger, Amade, M.Legrand, Francis Lemarque,...ect... et aussi ailleurs Arditi, Weber, JL. Dabadie,etc... qui (je le chambre...) essuie la poussière avec sa belle tunique d'Académicien..., ça manque ou n'est pas suffisant en volume, à la création. Ils existent avec de nouvelles idées chez des créateurs, mais ces derniers sont freinés ou anéantis par aucune aide simple à la création, sauf plan bien établi par des spécialistes...(les bons plans pour leurs fouilles)! Alors la Sté des Droits du Net , SDI , vite...vite, svp. 

Et puis, les sociétés de droits d'auteurs ont des critères non adaptés au Net, on perd ici du temps en pensant que le problème a été réglé en 1850, puis avec J.Lang après, puis quelques modifications hasardeuses et le Gouvernement est long à se décider pour la SDI car il y a belle lurette qu'il a le dossier, notre dossier 'Net'. J'espère beaucoup donc dans le CSA et en 2014,15,16, même s'il n'est pas spécialisé et je suis prêt à l'y aider. Le Conseil doit viser juste. Ce tracé de loi p.9 avec les avis des intéressés p11 de ce site vont rester le temps qu'il faudra, dix même s'il le faut...

JO avait un flaire énorme... du reste ma Mère (en photo) a dit ces mots "je trouve que tu t'intéresses beaucoup à cette petite"...(j'ai entendu, j'avais cinq ans, une anicroche qui reste en mémoire, je remettais la chaîne de mon vélo, sous les fenètres...); (" fais donc passer André Vylar, il swingue dit-elle" - réponse , "mais ça n'est pas pareil") -.

Cette petite, c'était Claude Parent. Certains dans le métier connaissent la collègue des studios d'enrégistrements de Christiane Legrand, dans les Demoiselles de Rochefort. La voix chantée de Fr. Dorléac, c'est donc elle ; et celle de Christiane qui a été grande amie de mon copain J. Pailhes, est celle de Catherine Deneuve. Claude Parent était de tous les galas avec le père, JO, dans les années 50, avant d'être du casting de Michel Legrand. Comme Jean Bertola, elle a dû passer chez PATACHOU de temps en temps en arrivant à Paris et y restant. Cette dernière était l'artiste idéale que conseillait JO pour ses contact, tout comme l'inverse, car excellente interprète , excellente amie, et qui plus est avait créé un cabaret dont JO disait de lui "l'outil indispensable à notre métier'", elle rayonnait sur Paris.

Des gens utiles à la Société s'en vont ainsi parfois. JO était complet dans l'utilité. Cette Société n'a rien qui est organisé pour ""continuer"" de suite l'oeuvre de tel ou tel, dans certains cas, et ceci se voit très souvent. Pour qu'il y ait continuation, il faut un "poste" rémunéré ou indemnisé, et encore, car si dans l'oeuvre de l'esprit des pertes se créent à une disparition, des disparus s'en vont pensant "je suis irremplaçable", et la société dit "il était unique"... ; Il faut que les suivants

s'inspirent du bon Ouvrage et c'est long. Quant aux ""catalyseurs"" des créations d'oeuvres de l'esprit, ce qu'était JO, c'est dans une grande pagaille qu'ils se forgent, beaucoup sont autodidactes (au sens multidons) tant il faut maîtriser un tas de domaines. Qui a succédé 'en force de la découverte en talent' à Jacques Canetti ? personne; (après J. Brel, il a même essayé de produire Bruno Brel, son neveu , même voix, mêmes nouvelles chansons, mêmes musiciens ! des rois, ect...), mais on lui a dit --medias et majors--"il n'y aura qu'un Brel", il aurait fallu lui changer le nom ! Jacques n'a pas eu assez de temps pour imposer son choix?

Je suis passé en concert avec Bruno, je pense qu'il y avait P.Ansoud ou J.Mallerey dans les accompagnateurs, et croyez moi, j'ai eu la chair de poule pendant la prestation. je ne me souviens pas si j'étais accompagné de Charlotte ou Claudette, qui ont tout connu de mes déplacements? Qui a succédé à Boulez, qui succédera à Martial Solal ? Car il y en a pour celà, mais sans aide médiatique y parviendront ils? Je ne parle pas bien sûr , en pensant à "de la copie", mais en pensant à un esprit constructif , une sensation identique , un contexte proche, une culture de même texture, un talent de même intérêt, un travail de même valeur, un résultat aussi flagrant. Alors on entend médiatiquement "nous cherchons...". Alors oui, ils cherchent, je peux vous dire 'qu'ils cherchent', et recherchent, ces indéfinis, et même au point de leur écrire, pour le bien de tous, ce qu'on a contre eux à l'esprit, et qui ne peut se mettre en musique, mais juste sur un livre; et que s'ils ont cherché ici ou là, et n'ont pas trouvé, il va falloir trouver pour eux et ne plus qu'ils nous cherchent... (je savais que je pouvais écrire des lignes qui demanderont des journalistes chevronnés, des forces de l'ordre, voire l'armée pour s'analyser, mais je les ai écrites...et je pense que vu la complexité, déja, F. Luchini lui, va les commentées! ou Moix en tirer un article?).

CHAP.17

Au fait, on peut m'appeler en direct (voir p.14 de mon site) pour fabriquer une version papier , une version radio, une version télévisuelle, même un film, ?; pas une comédie musicale non, ça n'irait pas, j'aime voir et écouter mais suis certain de ma nullité en ce domaine; et il est certain qu'en Tv, pour le réitérer: 'appelez moi...', "insistez...", je vous remettrai alors, la médaille du Mérite Médiatique (le nom est lancé depuis juillet 2013, et je le crée) au premier qui m'aura dans son émission, rappelez le moi à l'occasion. Pour le moment continuons l'épreuve actuelle, car c'en est une. Imaginez , les résultats quasi se comparent, un coureur cycliste ayant un entraînement assidu, ayant gagné les courses dans son pays, étant repéré dans les équipes, et cherchant toujours 'Un Tour', France, Italie ou Espagne (comparons celà à une audience médiatique certaine), et que ces tours se fassent toujours sans lui, parceque les secrétaires établissant les listes de coureurs zappent son nom chaque fois, parcequ' elles n'arrivent pas à la prononcer! Suis-je dans ce cas si l'on me compare en matière à télévision, je ne sais? En tout cas, mon nom se prononce facilement avec deux syllabes et un léger frémissement de son à la fin.

Chaque paragraphe nouveau est signalé là où des centaines de journalistes épluchent, en Twitter ou Facebook, on ne sait jamais?.. (encore Suresnes ! avec ces derniers mots et un titre à Ch.A., qui me revient à l'esprit...).

J'en profite pour dire que dans ce bouquin, ce n'est pas en raison de directions diverses défaillantes que celles ci n'ont pas abouti pour connaître plus le musicien, le jazzman, l'auteur ou l'interprète.... c'est parceque vers les bons je n'ai pas eu le temps nécessaire, ou ne les ai pas assez vus, ou jamais vus, et qu'il est resté des moins savants, moins bons, remplaçants directeurs artistiques, entre un poste chez un gros label et un autre au prisunic, eux visibles, et dans ce cas, on sent de suite qu'on n'aura pas les mots pour convaincre, comme si on avait à vendre des carrés de soie à des acheteurs de démonte-pneus? Le meilleur aurait été Raphaël Mesrahi, et dans ce cas j'aurais compris à un gag, mais ils étaient de mauvais Raphaël, sans humour. Revenons à JO.

JO, a eu lui le vrai Mérite Social, plus que bien mérité, avec ses dix ou quinze grosses associations qui s'arrachaient gratuitement ses dons, dites moi (titre cette fois de Jonasz), à quoi celà sert-il si on ne remet pas en route la description de son tracé et de sa mémoire, ici, maintenant? si l'édition livre me présente les mêmes prouesses que celle du son? et la description du désintérêt de la faune parisienne à une suite familiale d'une autre texture, par méconnaissance de la vie professionnelle d'alors, si peu longtemps en arrière. Ayons confiance. Des bruits disent que la Bourse du Travail aura ses 'loges Jo Darlays"? Je vais donner aussi des idées : je l'ai appris depuis peu , le papa Dabadie était aussi auteur. J'ai vu passer les noms et ai ajoute ses oeuvres dans mon esprit, à celles de Jean Louis.

Je réclame (je vais me casser le nez si c'est déja fait), un livre sur le papa Dabadie...L'Académicien a tous les talents pour nous éclairer sur son père, qui semble t-il a signé aussi beaucoup de titres. Ne pensons plus 'combien allons nous vendre?' (mais sûr ça se vendra), pensons -quel est l'intérêt culturel- Dans ce cas gageons qu'il le fera avec grand brio.

Je réclame un livre sur la vie de Jean Raine , le peintre , il le mérite. Jean Raine, dont j'ai eu la chance de garder la voix sur bande magnétque, et qui a travaillé avec Magritte, et que je voyais chaque jour quand les E.M.M. de Neuville s/Saône étaient en (petite) production. Jean , qui a laissé son nom à l'école communale proche de Rochetaillée s/Saône. Sa famille a encore de nombreux tableaux à exposer ou faire connaître. Lui, avait écrit et édité ses 'Poèmes à peine poèmes' , mais sa vie, à mon avis devrait intéresser plein de lecteurs? Ah si j'étais grand scénariste...ses fresques peintes à genoux...je l'ai vu faire, quel personnage! Il faut qu'un écrivain l'ayant connu s'y attèle.

Et le père de Sardou? ... y a t il un livre retraçant ses créations? allez Michel, au boulot, le théâtre doit bien te laisser 30' par jour pour gratter du papier? Je pense que le livre va bientôt s'enorgueillir de la vie de personnes intéressantes, grace à leurs enfants, leur petits enfants... et que par exemple Roger Guérin verra son histoire passionnante qui sera relatée, (Jazz Hot et Michel Laplace ont déja écrit la base du job). Tous ces travaux peuvent aussi se romancer?, ce que je ne sais pas faire pour JO tant la vérité est un rève éveillé, lequel ne l'a pas rendu riche car il est parti trop tôt. Enfin, remercions ceux qui croient le talent ou le don, comme le travail de journalistes, tel celui de certains français, ou de suisses entre autres, par exemple, qui n'aura pas été vain en préparant des biographies actuelles. Si, modestement, ce livre peut donner des pistes, j'en suis ravi. Pour Robert, cet ami à Devos, qui relaya JO quelques temps, Brigitte, Janine, Bernard, ont aussi de quoi écrire.

On terminera juste le paragraphe (les paragraphes sont notés 'chapitres' car déja, mon site où le bouquin est rédigé en direct, a ses pages où les paragraphes parfois ne suivent pas les numéros de pages- ne cherchez pas à comprendre ici -), et ce bouquin n'était pas prévu au départ; donc on termine par cette question à mon encontre: "qui as tu trouvé de plus sympathique dans ces rencontres sur ? plus de vingt ans, au moins, qui ne t'ont pas apporté d'aide, par manque de chance, ou parfois par imbécilité?,que ce soit peu de temps (c'est relatif) après l'époque de JO, ou plus après, vers nos jours ?

Réponse: rien ne s'est fait pendant JO, j'étais gamin, j'ai démarré dix ans après au moins? mon premier pote musicien s'est appelé Gilbert, et après des centaines d'artistes ont été merveilleux, encourageants, puis ce sont les jazzmen, des chanteurs, le trio Esperança, je ne sais, plein et plein de gens, dix minutes, un heure, un jour, que l'ont voit sur les plateaux actuels; mais ce qui reste le plus en mémoire, ce sont les refus ailleurs, ça, ça marque énorme pour le moment; les "je m'en moque de m'intéresser à..." ect... Une rencontre au hasard, Phil Barney par exemple a été un collègue d'une énorme gentillesse, ouvert, Goldman ou S. Frey de même, mais à contrario Macias a été quasi exécrable! et pourtant, c'est bien après l'époque d'Algérie, avec le temps passé de ma part, à me faire des amis dans les jeunes pieds-noirs revenus, ce cher Dimalta, cet ami A. Taïb, toute cette époque épique; Vers Macias, rien n'était imprimé sur mon front, il est donc inutile d'insister sur ces lignes, de faire de la pub à des personnages comme lui, juste sympathiques si on les admire mais incapables de converser pour les soucis des autres sans finir en trente seconde par "et merde, bye, je m'en tape". Mais...il représente l'Unicef... comme quoi ! J'allais lui parler d'un peu de tout, d'un peu de moi, je le pensais avec du temps devant lui, et disponible ; C'est Bouvard (encore une fois vers qui je suis passé serrer les mains, cette fois en podium) à qui j'avais fait un signe, ainsi que Stone et Charden, toujours sourires... je voyais le tout et vite fait donc je m'éclipsais, ils étaient au même programme. Philippe me dit 'vois le', il est là bas vers les cacahuètes, sinon il va s'endormir, il a des connaissances. Bref, ensuite...je suis revenu, plus tard, vers un Etablissement 'le Saxo', ça ne s'invente pas , où j'allais me défoncer un peu en clavier-chant-sax, avec ma copine superbe dans la voix, Paty, parfois renforcée par ses copines Chantal, Mily, Cathy ou Eléonore, -elles s'organisaient pour alterner- moi-même parfois remplaçé par Jimmy Castelli, (Monsieur King Bees), j'ai dû raconter ce moment à mon pote Michel, accompagnateur d'Escudéro, qui passait me voir, je ne me souviens pas de sa réponse, tant un revers ne me marquait pas dans ce temps présent, mais laissait après un petit 'je ne sais quoi?' (tiens France et Berger) en mémoire. --je pense que vous avez remarqué que des mots de chansons de tel ou telle, sont dans le langage courant, alors je souligne ainsi leurs noms d'artistes--

Justement , en parlant de ce "le Saxo" et de son sympathique patron, M. Gandreau, une personne qui vous met à l'aise, comme le sont Jacky et Tony sur le Lido, j'avais invité un soir l'équipe Vianet-Manoukian, vus en studio, pour qu'ils écoutent en direct Paty, voire une des trois autres, eux qui recherchaient des chanteuses, bien que Foly cartonnait...Et bien un seul est venu, qui a dîné (même s'il n'est pas gros) et avalé les deux couverts préparés pour eux, s'est bien tapé la cloche, et, un peu chaud ('j'ouvre les bouteilles ?, j'espère qu'il va arriver André !'), m'a avoué: "je n'ai rien écouté de la fille, mais c'était très bon"...

CHAP.18

Nous allons rappeler trois lignes, sur les proches de tout azimut , région, studios, famille... Les Pastor eux aussi rapatriés, sont plus qu'adorables. Thierry, pote à Magdane, a créé son "Coup de Folie", joli succès, gros succès même qui passe toujours bien, (parfois avec ceux de P. Hernandez ou de Cloclo) -Thierry, svp, ressort ton titre, avec une vitesse à la noire identique à Patrick, et tu verras ( ../..tu verras! là je me fais du mal, je remets à plus loin pour du Nougaro) - Il a donc plein de frères musiciens, et qui jouent avec des groupes , dont certains sont des anciens du Palais d'Hiver; mais la plus adorable, est la Maman de Thierry, que j'ai connue dans un dancing où je programmais des titres - en réalité j'y perdais mes contacts pendant ce temps tant ce job est prenant-, cette maman d'artiste, avec une foule de copines à elle, était devenue sans le vouloir , en m'apportant sa sympathie, co-programmatrice, et ses amies les meilleures clientes..."James, n'oubliez pas ceci, celà, etc..." disait elle en arrivant vers moi , au moment où je dressais la liste, elle repartait joyeuse vers ses dix ou quinze copines. Dans une autre ville du 69, à une autre époque j'ai reçu cette fois, derrière les micros d'une radio Fm, qui s'est vendue plus tard à Europe2, l'autre chanteur des Pastor: Daniel, que parfois on confond avec Norbert son autre frère guitariste. Ce fût une émission extra, tout comme celle avec Nougaro en direct fin du concert, et c'est l'époque où je mettais en promotion le plus de chansons et de jazz possibles, alternant les meilleurs américains et autres, avec les excellents français, sur les antennes FM . J'y programmais un peu quelques titres à moi, vraiment adroitement, sans insister , et croyez moi, aucun de nous, artiste connu ou non n'avons touché un centime de droit radio suite aux listes tenues au jour le jour pour la Sacem...il faudra qu'on m'explique !

Je m'étais au fil de temps, démarqué du parcours de JO, sans lui comme exemple; lui s'était axé longtemps avant, sur le spectacle et 'tout' le spectacle, pour de mon côté, ne me concentrer modestement que sur le son, que ce soit le mien, mes compositions, ou celui d' artistes que j'aimais cotoyer. Oh j'ai pris la voie la plus aisée, seul, et pourtant... ce n'est pas la plus agréable si on n'est pas un super-relationnel comme était JO, et qu'on ne concrétise pas la production des oeuvres, bien que l'époque soit différente. Son autre petit-fils, est meilleur relationnel, Thier-Darlays, sera mieux que moi, ainsi que Nat. Les trois frères et soeur sont sportifs, un peu dans l'eau pour elle, lui plus dans le judo avec un titre sous-champion de France Académique ,et comme nous l'avons signalé le troisième est en FF Sports de Combats, en niveau international, revenant d'une compétition dans son Sport (on peut mettre une majuscule, quand on sait l'intégrité des adeptes) du Brésil (bien avant les footeux) avec l' Equipe de France, celle pour les rings. En plus eux, ils gagnent...(ce n'est pas méchant, j'anticipe, je taquine, je stimule, je prévois?...). Bon j'arrète et reviens au principal du chapitre. Comment ne pas penser, pour tous, à leur Maman, celle qui délaisse un peu ses propres hobbies pour n'aider qu'à l'épanouissement chaque fois, de l'enfant, et laissant le père à fond dans ses activités musicales ou autres, en mettant une veilleuse sur les siennes, pourtant toutes aussi intéressantes et dont on ne dira jamais combien elle va compter dans l'amour vers tous.

CHAP.19

Oh le père a été assez bon, dans d'autres champs; un passé en sprint, à quelques mètres, alors cadet-junior, du tenant du 4x100 national senior, Paul Genevay, une médaille jeunesse et Sports donnée par Paul Messner entraîneur national FFA , et toutes les premières place, ville de Lyon, département, région, académie, et club FFA Villeurbanne, un passé où on croisait les un peu plus anciens comme J. Verzier entraîneur de l'équipe de France 4x100, Guy Manfredi toujours dirigeant FFA, ou L. Fouletier véloce en 100 et 200 mètres et devenu Procureur. Le sport doit permettre , certainement, de tenir plus tard contre les anomalies professionnelles de toutes sortes, comme dans ce qui nous intéresse: la production de disques et d'émissions, qui elle, est infernale.

Attention, ce ne sont pas tous les parisiens du showbiz qui sont exécrables ou sympathiques-exécrables si vous préférez ! ce sont quelques uns, peu, mais, pas de chance, je suis tombé souvent sur eux. Pour les autres les conditions n'ont pas voulu que je puisse les revoir à temps, mais je suis toujours dispo. Je sais que certains sont avec des titres en musique, ou complètement nuls, même si la technique n'est pas l'essentiel, le goût comptant aussi. Ils sont où ? (sans trop se forcer toutefois en travaillant, car ils seraient plus connus, après ces distinctions et promotions internes) . Vraiment je n'ai vu que peu de ces interlocuteurs en face, car ils sont toujours cachés, occupés, 'très pris', entre deux taxis, entre deux téléphones , entre deux "laissez votre message" (même pas de jolie secrétaire avec du vernis dans le tiroir, une lime à ongles sous le copieur, un sachet vide de je ne sais d'intime dans la corbeille) . Dommage! (dommage aujourd'hui pour moi, ... et un jour pour eux si je sors les noms lors d'une émission de promotion ?).

En effet à Paris tout y est centralisé, à part Harmonia Mundi dans le Sud, pour ce qui concerne les directions de l'effet médiatique désiré, et pour intéresser un média il faut un déclencheur. Mon ami J. Pailhes a trouvé sur Paris plein d'amis dans ses cordes, dont Michel Legrand. P. Chetail , également , a connu Alfred Loewenguth, dirigé son Conservatoire Indépendant et pris sa suite. A. Clerc est parti enseigner à Troyes. J'ai contacté Jeanine Rueff rue de Madrid vers cette époque. Il faudra que je mette sur Youtube ou Dailymotion, les enrégistrements EMM de l'orchestre Indépendant, interprétant Mozart de façon splendide. J'avais disposé quatre micros pour un son "comme ce qu'entendait le spectateur, mais sans ses bruits de proximité" et c'est assez réussi. Pourtant, dans cette période, on craint de n'avoir pas assez de bagages. J'étais revenu voir mes ex-professeurs au Conservatoire de Lyon, pour avoir des attestations pour me préparer au Concours Centralisé d'Ecriture Musicale, à Paris, celui qui destine à l'enseignement en Conservatoire. (Etait-ce nécessaire? il y a eu des tas de tubes de compositeurs non connaisseurs en musique! pas besoin d'être A. Hodeir diront des majors, qui du reste ne connaissent pas la vie de Hodeir, ni même le nom de Hodeir?)

Après plusieurs mois de travail, loin des chiffrages du jazz, la basse classique c'est autrement, je fus convoqué au Conservatoire de Paris, par le Ministère et enfermé à clé trois jours, avec mes trois sandwichs. Un pour la fugue, un le contrepoint, un l'harmonie. Ce concours mène au professorat en Conservatoire certes, mais là n'était pas mon but, ce qui du reste était idiot de ne pas envisager de ma part. Alors... en prenant le train, j'ai posté un courrier "je passe le concours, mais n'exercerai pas, si je suis retenu" (il y avait 3 places pour 30 candidats, c'était jouable). Ce qui fait qu'il y a peut être des archives avec mes écrits musicaux, que je n'ai jamais entendus...(et que je pense bons), puisque tout se fait dans le silence. J'ai rendu mes copies chaque fois un peu avant le temps imparti, à l'encre de Chine, ce qui me fit entrevoir les autres rendus, certains "au crayon" , et en plus parmi ceux primés plus tard... J'avais bien fait de 'sauter du train' je pense que ça m'aurait interpellé. Je n'ai jamais usé de ce niveau pour me présenter en éditions, je pense que l'on aurait ri sans savoir ce dont je parlais, c'est dire l'impression que j'avais des rencontres. A part Legrand, rue St Honoré, personne ne savait ce que voulait dire 'écriture musicale', et Michel, je l'ai vu 2 minutes, en coup de vent, "reviens me voir, je me dépèche", et on se dit à ces moments là "tu vas un peu trop loin, il court trop vite, c'est un niveau élevé, cherche en dessous", et tu descends justement en dessous, admirer les pianos de la salle Pleyel, au même numéro, lui est déja dans l'arrondissement suivant ! Une seule rencontre m'a impressionné. Il était sympa et me disait, 'je croule sous les suivis, et je n'ai qu'une seule super signée: Sylvie Vartan...' . Bob Soquet, de RCA, m'aurait tendu un papier vierge, je signais...

CHAP.20

Nous sommes en direct, rappelons le, mais avec des semaines et plus, souvent hors écriture, heureusement...Et par exemple on entend dire en ce moment que Palmade enrégistre des titres disons 'osés' (titres dits de 'plus de 30 ans') , style suite à Perret. Les médias savent tout... même ce que je vous dis puisqu'ils y ont accès chaque jour... Par contre croyez vous qu'un mot dans une info ou une émission, parlerait d'un de mes titres? (un peu est montré par mes soins, par exemple p.7, 8 ou 10, du website, soit 24 MP3 qu'on peut même enrégistrer, si c'est fait proprement -svp-, tous les journaux aussi reçoivent les liens de ma page musique), SOUNDCLOUD contient un tas de mes titres compos ou reprises, parlerait ils de ma présence en positif ? voire négatif, puisque parler de quoi que ce soit en bien ou mal est une promotion. C'est pour tout âge , avec textes châtiant le français (très peu en anglais), les arrangements musclés sont agréables, arrosés de sax, et les idées sont de créations différentes de ce qui est connu ? En plus des standards impérissables s'y ajoutent, ont les voit sur youtube, avec un nouvel esprit non encore perçu, tout le contraire des vagues mots d'après repas énoncés au téléphone par J.L. Hees. Je me promets dès que mon nom me permettra d'entrer vers les programmateurs ou autres, d' utiliser encore un peu de la non notoriété totale pour voir ce cirque, par exemple en me faisant passer pour un inconnu, étant dans la place, car en ce moment j'ai peu de moyen même d'entrer, et voir s'il n'y a pas une liste rouge ou autre, qui serait éditée entre services ? et aurait causé tous ces dégats ? Il y a quelques années, je rentrais facilement en locaux Tv, j'y ai serré les mains de Dusseaux et d'autres par exemple, maintenant : les gardes sont là 'vous avez rendez vous avec qui?' (peut on répondre 'avec tous' puisqu'ils sont tous en répondeurs et ne répondent plus). Le plus certain, c'est que même si de ma vie je n'arrivais pas à me faire écouter, ou qu'un autre ne reprenne pas mes titres en interprète? un jour, un ou une descendante aura plus de chance et tentera la médiatisation du contexte ! Par contre les droits d'auteurs perdus sur des années le seront bel et bien .

Il y a bien les échantillons remis en ce moment, et depuis des années, aux radios, --16 titres sur la dernière autorisation Sdrm -- C'est, avec le degré de tentatives et de créations adjointes, un contexte que je peux nommé, vu les résultats, avoir été comme 'dégueulasse' sauf miracle arrivant , tant , avant moi, bien que je devrais suffire à ma requête, un père a été dans ceux qui ont fait évoluer la profession de la scène vers la télé. Par respect pour son travail , le minimum serait d'accorder une audience à celui qui conserve son nom et a réalisé des milliers de podiums avec sa musique, s'est fait applaudir énorme après ses chorus de saxo, mais dont le nom n'a pas été allumé sur le parvis du music-hall.

Dans un même temps, en ce moment, on entend des "idées de film" de tel ou d'untel , pour 'dans plus d'un an' , 2014 ou 2015, ("ah vous envisagez un film ?.. ah oui etc"....2 minutes d'antenne avec rien !) et un peu de pub leur est faite pendant qu'ils ont les pieds en éventail. Rien n'est commencé! Une idée de film leur est venue, et il la dépose en somme sur les ondes, et ensuite... on verra bien !. Qu'en pensez vous ? doit on faire de la pub à une oeuvre encore non conçue ? c'est pourtant quotidien en France. Pendant ce temps là, les oeuvres conçues inconnues prennent la poussière.

JO avait , je me souviens des cas de conscience auxquels je participais, fier et droit, tout gamin..., maintenant je pense qu'il regarderait si son job m' intéresserait; et il était réconforté, déja vers mes six ans, car il savait très bien prendre ses décisions. ""A ton avis, fils, quels seraient les meilleurs clowns pour la soirée unetelle, il y aura xx enfants , des cadeaux comme toujours en décembre, et comme je suis Président de l'Amicale des Artistes qui organise, tu auras aussi ton cadeau, comme les autres?"". Voilà une bonne question, bien qu'embarrassante ! Les trois ou quatre groupes de clowns que je connaissais, étaient autant valables les uns que les autres , c'était des comédiens qui mettaient les enfants en transe. J'énonçais devant lui, en réfléchissant, sans pouvoir décider, cette fois il me donna des arguments différents: "les Carli-Carlo ne sont jamais venus à cette soirée, ce ne serait pas mal ?", et je fus d'accord. Il n'y avait pas encore le très connu Zavatta, qui aurait été des nominés ou nommés...JO était un homme d'une rare précision dans ses mots, et je me souviens qu'avec mon petit poste j'écoutais le dimanche matin ses programmes sur l'antenne et cette voix, comme à la maison, était directe dans la mise en valeur des artistes qu'il indiquait et adulte, il me semble que j'aurais été conquis par ses annonces. Après son écoute, mon avis était celui ci "c'est dit, c'est clair, c'est sympa, c'est tout lui, quel type!". René Fonteret ou Max Nicolas reprenaient l'antenne ensuite.

Comprenons donc, d'autre part, qu'en ce moment , le moindre contact pour la S.D.I. , ce projet p.9 et 11 du site web, est pour moi, pour nous tous artistes, vital. Les cadres concernés sont des décideurs hors les artistes, et j'ai besoin d'eux pour étayer la médiatisation du projet, tout autant que pour faire comprendre cette idée imparable et indispensable, que déja les finlandais étudient, à partir des documents qui ont été transmis à plein d'endroits par mes soins. Mon monde du spectacle est à l'envers, injuste et m'ignorant , mais je l'ai encerclé, (faut le faire) est-ce pour évincer les cons, comme aurait dit l'humoriste Robert Lajoy...dans ses prestations superbes de chansonnier , alors... ce n'est pas une mince affaire...Projets de médiatisation de titres personnels, projet de médiatisation d'idée de loi pour les créateurs en Net, voilà du pain sur la planche ! En plus, on l'écrit en livre... Cher lecteur, on pourra sauter tout paragraphe trop complexe à lire, ne m'en veuillez pas.

CHAP.21

Mais, me direz vous, ça arrivera, un naze dira ?: 'comment pouvez vous me convaincre, si je n'ai pas envie d'écouter ? ou quels sont vos arguments pouvant dire que vous vous jugez de bonne facture ? hors ce que vous dites sur le passé, enfant auprès de votre Père déja dans le métier? etc...etc...' --

Bon, ne nous énervons pas... le propre de mes antécédents de musicien accompagnateur est connu des professionnels, (je réponds ici par exemple à un cadre de media) et si vous n'avez aucune relation vers le bas, vers de vrais arrangeurs ,qui manient le son, créateurs, musiciens,...Monsieur, et ne cherchez vos contacts que vers la production intense (à fric), je peux vous dire que, par exemple j'ai été appelé par cet 'exemple musical qu'était Maurice de Thou', pour être avec lui dans le jury d'une Rose d'Or, et qu'une inconnue du nom de Liane Foly, y a été retenue, pendant que son ami l'attendait dans le hall de la salle Molière. Je pense donc, cette épreuve ayant été faite avant leurs Majors, que j'ai bon goût pour voir le talent, même si j'étais très très jeune lors de ce concours et étais dans le jury, un comble.Certes c'était un concept féminin, et j'ai refait de même plus tard,en accrochant Paty, alors qu'elle s'essayait chez René Coll lequel avait déja ses chanteuses. En fin de séance j'ai posé le sax et ai proposé à Paty sa venue vers ma région, elle qui était proche de la Suisse. L'ami musicien qui attendait Liane, en ce qui concerne les années antérieures, était A. Manoukian , celui qui l'a aidée, un parent avec l' autre Manoukian, arrangeur du Big Band bardé d'efficacité et de son, accompagnant L. Gerra.

Quand on va à la musique avec un abord traditionnel normal, le classique, puis le jazz, on peut assez bien juger le niveau que l'on aborde en chansons, si on a une petite culture française ou américaine, et encore plus... si on vous barre la route, pendant des années. Les seuls soucis dans ce cas, sont qu'au fil du temps, on va devoir ne composer des titres qu'en sujets généraux, afin de ne pas trop situer le texte dans le temps, et ensuite le rendre inutile, et ne pas trop réagir à l'époque. Dès médiatisation on doit alors changer en composant la suite . Je ne sais?

JO, une espèce (relative) à la Bing Crosby français, moins riche!.., avait animé les fètes en 1945, autour du quartier Montchat , où les réunions 'chez Chabot' avaient eu lieu "avant" dans l'arrière salle; c'était à 50 mètres du Cabinet du Docteur Long, et l'on sait ce qui s'est passé sous les sévices de Barbie. Ce fût la liesse en 1945 et lors du retour de son frère de chez Leclerc depuis l'Afrique noire, et c'est en détail que JO m'a mis au courant de l'ensemble de ce contexte, dans mes jeunes années. Les plis avec le Commandant Lherminier et les photos des Flottes du débarquement , la photo du Dr Long, et le grenier où il cachait sa radio, rue St Isidore, m'ont expliqué ces années difficiles. Sa sympathie et joie de vivre étaient nées disait il, un peu avant , au moment où il avait su que ça allait "déménager" sur les côtes de Normandie. --alors quand allons nous déménager sur les télévisions?--

Louise avait passé ces moments en l'épaulant, avec de plus un frère (Henri), plus jeune, très branché dans les trucs à aller prendre des risques et qui plus est, était carrément installé sur la place dite 'Henri', en bout du cours devenu plus tard cours Docteur Long, aussi à 50 mètres du toubib. C'était un nid de résistance en toutes les allées, et on pouvait en face patrouiller en troupes devant sans se rendre compte qu'on y était décrypté de long en large.

A part le violon, Louise avait une passion : les minéraux. Je vais avouer une chose impardonnable. Déja je vous le dis, s'il vous arrive la perte d'un être cher, faites en sorte de ne pas agir seul, pendant plusieurs jours. Elle m'avait mis de côté, il n'y a pas d'autre mot, étant classé 'sciences' familialement, personnellement un caillou noir plat de 200 grammes, ramassé lors d'une pluie de météorites, avec un papier donnant: lieu, date, heure,ect...Quand elle a disparu, je suis devenu complètement sans intelligence, pendant plusieurs heures. J'ai jeté ce caillou en poubelle, ("à quoi ça sert maintenant, elle n'est plus là, ma vie va être un enfer...etc..."), et le météorite de Louise a disparu avec elle. Je m'en veux

toujours...ne faites pas la même chose : la nuit des étoiles est dans 8 jours. Je regrette aussi de ne pas avoir eu le réflexe de me dire "et Jean?" , cet autre oncle passionné de tout m'aurait conseillé, ce connaisseur autant de technique que de sports, on le voit ici ( photo ) au départ d'une course donnée par ... Maurice Chevalier qui baisse son drapeau (dans la foule JO n'est pas loin). Jean vient juste ce nous quitter, impasse du Ténor, un nom intéressant quand on fait du sax. Il reste le violon de Louise, à écouter, mais c'est une autre histoire. --je me suis aperçu au premier jet, que je notais St Isidore, la rue, au féminin (plus haut) une erreur rectifiée faite depuis l'enfance où l'on écoute avant d'écrire et se fie à la prononciation, et ici de 't' de liaison,est plus ou moins accentué dans les bouches, d'où la confusion de l'enfant qui va, changeant de rue, garder l'erreur!...--

CHAP.22

Nous évoquions la petite participation qu'il réservait dans ses choix, envers un enfant. Il faut souligner aussi à quel point JO avait mis l'accent sur la politesse, la cordialité avec le public, avec des interventions courtes entre chaque artiste sur scène, comme tout speaker , et en commençant le concert par sa propre prestation de quelques chansons; jamais les mêmes, toujours en fonction du contexte général des époques. S'il avait une tête d'affiche étant née dans le coin de Menilmontant, il ressortait le succès de Chevalier, si c'était le mois de mai et un temps adéquate, les spectateurs avaient droit au 'Bois de Chaville' , à l'époque un titre récent, et en plus lancé par un de ses potes chansonniers. Jamais une grossièreté n'est arrivée vers son micro. S'il y avait plus d'enfants que prévu avec les adultes dans le salle, il modifiait de suite ses quelques rares histoires courtes avant de présenter l'artiste suivant. C'était le postier qui avait 'volé' en partie la somme envoyée au père Noël par ses collègues suite à une lettre d'enfant, en décembre, lesquels n'avaient pas recueilli le tout demandé, vous connaissez... ou bien (celle ci avait été réservée à bon escient...car l'inspection des impôts était au premier rang!...), avec l'imposé 'de plus en plus', qui vient avec des valises de plus en plus grosses, et finalement amène 'la machine' à l'inspecteur... "vous les ferez vous-mêmes!". Et les inspecteurs des impôts riaient aussi. J'avoue que parfois, j'en ai mal aux oreilles quand j'entends trop de mots pervers dans un sketch actuel de gros médiatisé; cette école télévisuelle n'est pas la meilleure!(et il y a même pire que je ne veux pas aborder sur mes pages tant c'est bas).

Ne nous méprenons pas. Pourquoi ce livre ? sinon pour retracer les excellentes orientations de JO Darlays, et pourquoi son héritier , James Darlays, maintenant en 2013, ou 14, ou 15, écrit en direct ? sinon pour montrer les différentes orientations qui se font dans un secteur proche, lequel peut comparer deux époques. Alors me direz vous, tout évolue, tout change, tout progresse...! Peut être? Je ne sais ?

Tout évolue, oui ; mais est-ce une évolution comme on est en droit d'attendre ? Le cinéma, le son, le publique et sa culture, ect... qu'y a t il en réalité? Personne ne va vous dire un jour : le film, c'est Lumière, en pensant au dernier programme dans la salle à côté, vis à vis d'une projection. Oui, vis à vis de l'invention, il est évident que nous devons tout aux Frères célèbres, comme l'on doit tout à Pasteur dans de nombreux cas où nous aurions des migraines en écoutant des artistes, et les évitons... ou en ayant la 'rage de vivre' comme l'aurait écrit Mezz Mezzrow, en la transformant en volonté de montrer ce que nous pensons être le chemin dans l'art. Les "Hommes et problèmes du Jazz", si vous les avez lus, d' A. Hodeir, nous résument une passion qui ne peut pas disparaître au fil du temps.

Le 20ème siècle a eu tout en lui de ce qui va engendrer l'évolution des années futures. Ce qui existe en ce moment, est un mauvais éventail partant dans tous les sens, sur des bases récoltées au 20ème siècle. Expliquons : tout serait identique en écoute, en chaleur, en émotion, en luminosité, en effet secondaire, en durée d'un spectacle,... si nous utilisions toujours (et certains le font), la bande 19cm/s, le multipistes analogique, la betacam, le compact disc, la cassette vhs , le dvd, le 35mm, le microsillon, le minitel, le shure 645, ou?.. le par64... mais il y a une conjoncture commerciale qui en même temps apporte des améliorations notables, en laser, clé usb , internet, numérisation, effets,que sais-je? Ceci est l'évolution normale et nécessaire de cet éventail arrivant au 21ème siècle. Dans cette évolution, il n'est pas nécessaire que d'autres parties des faisceaux en éventail, partent dans des sens abjectes. Quel est ce recrutement de "primés" à bon compte du disque, dragués dans des castings énormes où l'argent sert, sinon, à tenter de lancer vingt ou trente artistes, puisque dans cinq cent vus à la hate entre deux portes d'hôtels, il y a nécessairement 470 non en forme ce jour ? Y a t il une relation entre la clé usb et le "allo" de Nabila ? (bonne question, téléphonez moi). Y a t il une relation entre la Sony de Lelouch et la carte mémoire du spectateur dans la salle, qui a cinquante heures de bonnes choses faites sur la plage, ou sinon pour d'autres, des conneries sans intérêt ? Y a t il une différence de fauteuil au festival de Vienne ? La pierre où l'on s'installe a t elle changé avec le millénaire? Y a t il des évolutions bienvenues et d'autres qui m'ennuient, cette fois culturelles ? Je répondrai en direct . Faites moi le plaisir de pouvoir vous réservez mes réponses, cette ligne étant pour une production qui peut lire les ouvrages, ou qui a des lecteurs patentés pour lire à sa place.

C'est aussi en posant ce problème, qu'on a le droit de répondre, "je ne vois pas ce qui peut changer ma façon de rire et de concevoir l'humour, et si j'ai adoré les histoires courtes ou longues de Raymond Devos, comme son rond-point , ou d'autres, je ne m'explique pas l'évolution désirée de productions, peu maitrisées, mises en avant, avec gags qui vont en ce moment , je cite , à trouer les slips, la merde sur ta gueule, c'est bien fait ... et Jean Passe est horrifié. On rajoute un effet de public en ajoutant le son applaudissant, on manipule l'audience, on se permet "le faux en art". Je pense qu'ils sont alors encore dans ce rond-point, mais ont mis le principe de la Tnt dans une valise, raccordé le Gps à la pompe à essence, bloqué l'avertisseur, profitent des spectateurs qui s'attroupent...mais ...ils sont déja dans l'ambulance !

CHAP.23

En deux pages 'Net', nous abordons les presque 30, pages 21x29,7, soit quasi 1/3 de livre de 300 pages non 21x29,7, sauf erreur. Je me pose quelques questions car il reste au moins 30 ou 40 papiers dans la boîte à idées, et je n'ai dû n'en utiliser que dix? Egalement, y aura t'il un manuscrit ? ou bien non. Viendra t on me dire "arrêtez on vous édite!" et dès lors, ma boîte aux cent souvenirs devra engendrer un second ouvrage? Ou bien la seconde galère après le disque se dessine au lointain, (le livre issu d'idée écrites en Net, jamais promu?). Je vais me rattraper en page 13 de site, en cette fois, scannant des manuscrits de musiques et chansons, peut être pas mes originaux, mais certainement du simplifié style 'petit format' ou real-book, il y aura donc bien de l'écrit traditionnel sur ce site. Bref, s'il y avait un ou deux artistes connus qui me chantent un titre ? quel bienfait ce serait, j'en suis déja bouleversé. Finalement ce livre éclairera une situation, celle de gens biens en général, d'amis, d'artistes, d'intègres et de collègues, mais éclairera des lacunes... d'autres, alors entre l'avancée et la reculade, et puis encore d' autres, hors classe... imbéciles à souhait, et qui plus est, ceux là vont encore plus avoir peur qu'on les bouscule, dans leur torpeur carriériste? Franchement, le gars qui en est à ce stade, personne ne veut cotoyer son bureau, ça craint, on l'entend cracher du bout du couloir, il n'a jamais de feuilles dans son copieur, c'est sa huitième firme de disques, plus la radio, la production Tv untelle, et il en a vu tellement... qu'il fuit le son, et ne tient qu'à ses crayons, et s'il entend 'vous serez à Cannes?' il lui faut du temps pour réaliser qu'il va falloir monter ce truc en tapis rouge, et que ça suffit ces artistes qui ne cherchent que des honneurs ! et le mettent en péril dans les avions, les taxis, et les restaurants aux notes remboursées ...

Ah il faudrait payer très cher pour que je postule au remplacement d'un nanti-anti-swing , et s'il n'en reste qu'un, de ces personnes bassement mal pourvues, j'arriverai bien à le contourner , le devancer dans ses actions et le considérer, s'il reste dans mon champ de vision, comme ce qu'il est, soit peu de mots à amalgamer, sauf ...peut être si on lui consacre une chanson; ce sera alors un grand honneur à son encontre? (elle est déja faite). A part celà, on est bien, déja dans nos pompes ou sous notre couvre-chef, on prend les situations par les sentiments, et de chaque aventure on en tire un bénéfice culturel, réussi avec plus ou moins de bonheur selon les difficultés apportées et le temps pour réagir.

A Jazzaparc, à côté de Villefranche de Rouergue, il a fallu faire vite quand Fr3 a été déterminée 'absente,non de la fête', décommandée par sa propre décision, ou cameramen perdus en chemin, on ne savait pas ?!... Nous n'avions que des caméras petites à nous, personnelles, et de filmer enlevait un homme du groupe. Tous les musiciens et organisateurs ont été au top, et le public extra. Nous avons terminé avec des vues prises ensuite à Paris, des vues avec Adrynya notre égérie, et l'intégration des gens du gospel d'Accra. On a jeté 90% des rushes car déja nos prises gardées étaient 'limite' et même une partie du son a été du 'direct-caméra' compte tenu du manque de place en Dat. Jack Beynet a filmé des passsages forts, et permis des inserts intéressants. Pourtant, même quand il y a une grève sur France Télévision, malgré le film de 1h40 passé en copie numérique, il n'y a pas cette programmation des meilleurs musiciens de jazz français , avec en plus une prestation classique de Maurice André, ce que, même la nuit, nous accepterions volontiers afin de nous encourager à réaliser d'autres images. Les grands du jazz français , parfois on les invite, parfois on les délaisse.

Le film "Najac An Un" à Jazzaparc est donc inconnu des téléspectateurs, mis à part quelques extraits courts sur le Web. Le Big Band de l'Olympia n'est pas, malgré ses membres, le Big Band qu'on s'arrache ! Il est certain que ceux de Nice ou Brussels ont plus de contacts, mais...des musiciens mêmes s'y retrouvent aussi. Qui dira si ce ne sera pas au Canada et au Québec que ce film passera d'abord? J'ai eu des contacts avec André Payette, le Poivre-d'Arvor de Montréal, partant en retraite, ceci lors d'un de ses séjours en vacances dans ma région, et il est très influent chez lui, et son épouse semble toujours au Ministère, à la Culture de Montreal . Qui sait? et JO?

Ce JO Darlays, ce père comme on n'en fait plus, cet ami des artistes comme il y en a peu, ce lyonnais ayant commencé à Marseille , ayant dédaigné Paris, en se disant sur les affiches ( pour mettre un peu d'humour dans ses échanges téléphoniques avec Maurice Chevalier ou Fernandel ) du "Petit Casino de Paris" -- ce tout très trop petit établissement parisien qui recevait douze personnes, avec un clown ou deux de temps en temps. Il en avait fait une pub terrible tant et si bien que Chevalier lui disait "tu exagères et on va penser en province que le Petit Casino est plus grand que le Casino de Paris !".

Jo était ainsi, d'autres après moi, son fils, feront des recherches et trouveront encore des choses que je n'ai pas retrouvées dans le cadre des années 1925 ou 30. Pour celles de 50 j'étais "sur place" et ma mémoire est intacte. Il reste aussi les années difficiles de la seconde guerre mondiale ou ses relations avec les réseaux de Résistance et FFI sont emmêlées. Je pense que c'est avec le "Frère Benoit" que des contacts avaient existé en 1942, mais je ne sais à quelle date, où il partit au Chambon sur Lignon soi-disant pour faire des tours de chant en établissements hospitaliers ? mais ça semble vraiment du "cousu de fil blanc" quand on sait qu'il a connu dans cette ville Albert Camus, et qu'il nous en parla qu'une fois la guerre bien finie. A cette époque le moine de Lyon avait plus de copains dans la délivrance de faux papiers pour les réfugiés juifs à faire passer en Suisse, que de copains dans la fabrication du fromage régional ! C 'est du reste la Fammac (anciens marins) de Lyon-Montchat qui offrit vers 1948 (?) une splendide voiture "Trèfle" de collection au Frère Benoît, pour services rendus dans les années antérieures.

JO... c'est le sujet principal, et nous y revenons sans cesse, permettez aussi que je donne aussi les lignes de ce qui se passe maintenant, car on ne va pas assez vite au but, et ... depuis des années. Je me mets parfois à la place de décideurs, de ces personnes qui gèrent de grosses sommes, et artistes,... et je ne trouve pas la réponse à "l'actuel" tableau? Alors si je ne bénéfie pas de l'aide du passé de JO, des plus jeunes autour de moi en auront je pense le bénéfice un jour, d'où un livre vrai, uniquement fait de contextes vérifiables car beaucoup de concernés sont encore en action lors de cette écriture. Ces jeunes auront aussi, en plus, le bénéfice de mon exemple musical, après ou en ce moment, énorme en arrière du gros public; travail qui en médiatique par contre, ... est bloqué, incompris ? par quoi , par qui, par quel sort ? par quelle liste, quel tordu ? quelle bêtise? quelle erreur?..

Voyons ce qui se passe en 1948, ou à peu près, à quelques mois près. La France est délivrée, JO a des potes dans les FFI, et le spectacle reprend ou continue. A Lyon, un pianiste virtuose de onze ans est programmé: Roberto Benzi. En quelques mois il a déja une renommée fulgurante, un petit Mozart . Ma mère bien sûr sait celà et informe JO, 'c'est excellent'. C'est tout. Et puis ... des bruits quelques jour après, courent , juste avant une soirée... "ce jeune homme étant d'origine italienne ne jouera pas, décisions de gens de la Libération" ! JO apprend celà, et sa réaction est immédiate , 'ce gamin n'a rien à voir avec le conflit qui est terminé'... il réunit ses potes résistants,et ...dans l'urgence pas question d'aller demander des dérogations, ect... Il décide qu'il sera, avec eux, le soir du concert, où public et organisateurs ne savaient rien, et ici se passe une entrevue ENTRE gens de la Libération, et JO décide : "vous n'empècherez rien, et en plus c'est moi qui vai présenter ce jeune au public" . Il était respecté et écouté, devenu entre-temps Président de la section 5 qui s'affiliera plus tard à la Fammac, car le moment était tendu.

C'est finalement ce qui arriva, et le spectacle eut lieu, grandiose, qui plus est, protégé par les deux groupes réunis d'amis 'je t'aime moi non plus' (Serge), en cas que d'autres ne viennent perturber. Certainement que Roberto en a quelques souvenirs, demandons lui ?, et le final est bien, puisque ce virtuose a fait une grande partie de sa carrière comme chef, en Aquitaine, comme en ce moment, et sur de nombreuses années. Un grand musicien notre Robeto. Ici, on ne se souvient pas toujours, même si on dit 'souviens toi' ; gageons qu'on a plus de mémoire Outre Atlantique , ou sans contact verbal, on m'adresse une super lettre il y a quelques années (photo).

.../... A SUIVRE // >>>>> --- livre sur Net, en direct --- à demain , ou guère plus ...>>>suite page 16 ch24

chap.24 >>>>>                     ***        James , l'auteur de ""JO"" en écoute (clic)

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